LA VOUIVRE
Des sons et des mots...
Biographie

LA VOUIVRE propose un univers singulier mêlant guitare/basse/batterie/orgue (fuzz) et tout ça avec des textes en français parfois chantés, parfois parlés, parfois rappés.
La musique de LA VOUIVRE est au bord d'un précipice, elle vient des tripes et se jette au visage de son auditoire sans ne jamais renier quoique ce soit du véritable univers créé.
La musique de LA VOUIVRE ne laisse pas indifférent, entre langage poétique, sentiments écorchés
vifs et maîtrise de la cadence.LA VOUIVRE sort un premier album, FRANK, en 2016 (enregistré à Toulouse par Fabrice Lacourt et Masterisé par David Bergère du Studio F.-Lab) et il tient à présenter un « véritable objet » , selon les propres mots de Mourad, en produisant un très beau Digipack trois volets dont son auteur/compositeur/interprète signera lui même la réflexion esthétique. C'est à ce moment que ce dernier décidera de ne jamais présenter un opus de plus de sept titres car selon ses propres mots : « sept titres comme ceux que j'essaye de faire, c'est déjà bien dense. Il y a beaucoup de choses déjà et plus ça serait indigeste ».L'univers et le concept de LA VOUIVRE sont là et un deuxième album, EN APNEE, est enregistré en 2018 (parution début 2019). Sur En Apnée, Mourad décidera de collaborer avec deux musiciens, Frédéric Diana et Christophe Liares (collaboration qui ne durera que pour cet opus) et signe un deuxième album qui, il l'avait annoncé, ne comptera pas plus de sept titres enregistrés également à Toulouse par Fabrice Lacourt, Laurent Houen et Florent Charles des Studios MySound.
Pour la signature esthétique du « véritable objet », LA VOUIVRE va collaborer avec la dessinatrice belge Salomé Genés qui, pour les besoins du projet, interviewera Mourad sur son projet artistique et ce qu'il a voulu dire avec En Apnée. Ce travail collaboratif aboutira à sept dessins, tous dessinés par Salomé Genés, chaque dessin illustrant un titre de l'album.L'univers de LA VOUIVRE est bien là et le temps des concerts est arrivé.
Quand on demande à Mourad de définir la musique de LA VOUIVRE, il dit simplement qu'il « fait des sons et des mots ».
En collaboration avec deux autres formations ( X-OR et YOUPI), LA VOUIVRE monte sur scène en 2019 et en 2020 pour une série de concerts au sein d'une tournée concept : pas de style musical pour réunir les trois formations sur scène mais des sons et des mots en français. La tournée s'appelle À SE TORDRE DE MOTS !
LA VOUIVRE poursuit sa route, libre, indépendant, et travaille déjà sur un troisième opus. Il a évoqué une collaboration avec un Beatboxer de renom pour ce dernier. Nul doute que la musique et l'univers de LA VOUIVRE sont une véritable proposition artistique.
Albums


Album FRANK
Enfin
Tuons nos mémoires
Bien trop affaiblies
Que nous puissions choir
Ensemble sur le même litEcoutions le silence
Le silence nous pourrions
Entre nous impossible
Synonyme, syndrome de pardonRessentir chacun
La puissance de notre nous
Laissant mourir de faim enfin
Tous nos espoirs et tous nos doutes
Alors, comment te dire ?
Exproprions l’adulte
Nos luttes rejoignons
Nos attaches une voile
« Allez viens nous partons »
Alors viens, crions
A travers les cloisons
Que ces boitiers, ces murs
Sont nos amours…nos prisons[pré-refrain]Je regarde le plafond
Tous mes sens frémissent
Je ne crois pas au profond
Je crois au fond[Refrain]Est-ce que tu vois ? Est-ce que crois ?
Je suis là, devant toi
Prends ma main, tiens la bien
Abandonne-toi
Entre tes bras, tes yeux fixent
Le néant du chemin
Entre tes yeux
Le silence d’un enfin
La goutte ruisselle
Le poster aussi
Le clan du réel
Bien-sûr endormi
La goutte devient larme
Son chemin poursuit
Et si l’horizon devenait
L’égalité si meurtrie
Toi sauvage si sauvagé
La reddition pour avenir
Ne regarde plus l’adulte d’hier
Regarde ton monde s’enfuir
Le degré. pas pour moi
Non, jamais la mesure
Même si fêlé ne sourit pas
Quand jeté aux ordures
L’eau a coulé sous les flots
Le tempano s’écroule
Le son existe trop vite
Et je me méfie des mots
..et je me méfie des mots[pré-refrain]La chaleur de tes doigts
Et tu disparais
Et je glisse devant toi
Je m’en vais[Refrain]Est-ce que tu vois ? Est-ce que crois ?
Je suis là, devant toi
Prends ma main, tiens la bien
Abandonne-moi
Entre tes bras, tes yeux fixent
Le néant du chemin
Entre tes yeux
Le silence d’un corps froid
Frank
Je ressens mon pou(ls)
Dans le verre de mon verre
Mon reflet flou
Le sillon de mon versSoumission organique
Jamais presque méthodique
Apaisé et debout
C'est la lutte du fouBalle perdue
Errer à condamner
Seul ou sans abri
Dans la chair de mon espritRegarde le poster
Laisse entrer sa couleur
Enfin à terre
Rejoignons la douleur
Pour la laisser entrer
Et lui faire confiance
Le moment et l'outrance
Et pourtant.A la vitesse super lente
Où je vais
Je pourrais
Peut-être échapper à cette fiantreDes serpents et des ailes
Pour m'aider
Pour lutter
En embrassant la forêt
Soi-disant si étrangeEtrange comme nous avons
En commun
Ce gobelet de crachats
Au chevet de nos mainsEtrange comme il se remplit
Plus vite que le tien
Etrange comme mourir est
Au creux de cette mainAllons-y donc, voyons donc
Comment ça fait
De ne pas supporter
La loi et ses méfaitsAllez vas-y, vas-y vas, vas donc
Regarde ton vers s'aiguiser
Dans ton verre, pour laisser entrer
Tous tes toi, tous les fous
Et te laisser pénétrer
Comme tous ceux qui ont foi
Ou une fois dans un fouEst-ce que je peux t’emmener
Tout en bas ?
Rien qu'une fois, que tu voies
Ce que ça fait ?Ici, regarde comme je suis
Maigre quand je suis léger
Regarde comme je vais vite
Quand personne ne me fait chierCar un son peut défaire
Ce que tu n'as pas créé
Car un mot peut entrer
Devant toutes ces violences
Dont tu es imbibéRefrain :
Frank Ah Frank !
Si je m'en vais
Sache que tu mourras
Tous les deux
Frank Ah Frank !
Regarde moi, devant toi
Je suis là
Dans tes yeuxAllez vas, Allez viens
Allez relève-toi, tu es là
Allez viens, regarde bien
J'suis toujours làEt un regard, un mot, deux mots, trois mots
Ton poing déjà sur ma peau
La douleur plus loin mes os
Les coups plus rapides que mes mots
Je ne me lève pas, je me relève
Pour mes rêves, pour la justice, pour la dignité
Je ne veux pas te voir souffrir
Je veux juste te voir creverEt souvent tu n'es pas seul
Car seul est différent
Car pour toi seul est faible
Massacrons-le tant qu'il est temps
Pieds, tête, poings, pieds
Tu adores piétiner
Tu as scénarisé pour dominer
Et taire tous tes traumas de dominéRefrain :
Frank Ah Frank !
Crois-moi un jour
Tu verras ton monde
Se retourner
Frank Ah Frank
Regarde devant toi
Se dresse enfin
Le Serpent AiléMeurs Frank
Meurs.
Exhume l'amerthume
Dessous, Dehors
Dehors et dessous
Enfermé
Dans la chambre de glace
Comme les glaçons
Qu'on nous le sache
Tous échouerontFin ?
Commencement ?
DouleurMonter, descendre
Descendre et montré
Des-cendres
Disparu
Dans l’illumination léthargique
De la petite folie douloureuseFin ?
Commencement ?
Fragilité
Mort, toi
Toi aussi
Nous t'avons tuée
Tous
Ma chair : seuls
La souffrance et le bonheur
Sont vitesse
La merditude fait chierFin ?
Commencement ?
Solitude
Le flot solide, sordide
Pénètre mon million d'os
Nageant dans mes entrailles
Mes naseaux, cerveaux
Crépitements, cliquetis
Noyade et calcinationFin ?
Commencement ?
Cérébro-lésions
Calmes gesticulations
Difformités insomniaques
Sueurs et gémissements
Tremblant, errantDans les limbes
Les limbes se trompent
Trop, souvent
A nouveau
Le son
Le mot
Sans effet de nouveau
Et de faits en effets
A nouveau cet endroit
Sans envie, sans nouveauPas de commencement ?
Pas de fin ?
Amour, DouceurExhume l'amerthume
Exhume l'amerthume
Fils de pauvres (peut faire face à son âme)
Tu marches, t'as huit ans
Le long d'un chemin de fer
Un cartable et pourtant
Parait que tout reste à faire(Mais) le long de la clôture
Le voilà et t'impose
Sa couleur, sa culture
Le cartable imploseTout le temps, souvent dedans
Pas encore de rancœur
Une fierté « mum y faire »
Une petite lueurAlors sans vaciller
Tu as pensé, mentit
« Mum y faire » apprend
« Mum y faire » survitVoile du palais, me voilà en apnée
(oh non) il n'y a pas de règle ici
Entorse, caillot, embolie
Fais ton chemin, ouvre ta gueule, sois iciIl pleut, pleut encore fort
Les gouttes, les sots
Tout s'accélère, ralentit
Me reste plus que cette droguePour espérer surgir, me dire
Que cette tôle est un toit
Choisir, finir, me dire
Que ces mots/sons sont mon toitMais, j'mange ma poussière
Déconstruis dans mes yeux
Écoute le ventre à terre
La connerie de toi vieuxLa fatigue m'effraye
A fini par faire de moi
Connard parlant trop fort
Si tu te couches avant moi
Des jours dehors
Des jours dedans
Des jours avec
Des jours sans
Respect asséché, non.
Des rêves tués, et
Le lendemain n'est
Qu'une souffrance embrumée.Refrain :
Même pas sage!! Même pas mal !!
Je suis là devant toi !!
Même pas sage!! Même pas mal !!
Et j'me relève encore une fois !!
Même pas sage !! Même pas mal !!
Et je suis là devant toi !!
Même pas sage !! Même pas mal !!
Et j'me relève encore une fois !!
Même pas sage!! Même pas mal !!
Car fils, fils de pauvres...
(Car) fils de pauvres
Peut faire face à son âme
(Car) fils de pauvres
Peut faire face à son âme
(Car) fils de pauvres
Peut faire face à son âme
(Car) fils de pauvres
Peut faire face à son âme
Car filsAvant ? Quoi ? Comment ?
Au bord de l’Île autant
Se cacher derrière le grillage
Pour-tant éviter le pillage
Du mensonge, et en, construction
Mobiles-Hommes, chienne et chaîne
Tensions et prémonition
Nomades (et) presque nomades
Virilité et tensions vives
Alcool et bastons...faible locomotive
Seuls et unique chaine
Sadam Hussein, informations
Seuls et refrains pour arabes
Marchés, territoires, exclusion
Uniforme et Képi
« Kissmi, I me love me »
« tu as dépassé »
dit « le Placier »
« Ah Ah ! Vous avez vu ? »
« Son grand, son gros nez .. ? »
« Pinochio !»
dit l'émigréRefrain :Même pas sage !! Même pas mal !!
Et je suis là devant toi !!
Même pas sage!! Même pas mal !!
Et j'me relève encore une fois !!
Même pas sage !! Même pas mal !!
Et je suis là devant toi !!
Même pas sage !! Même pas mal !!
Et j'me relève encore une fois !!Car fils, fils de pauvres...
(Car) fils de pauvres
Peut faire face à son âme
(Car) fils de pauvres
Peut faire face à son âme
(Car) fils de pauvres
Peut faire face à son âme
(Car) fils de pauvres
Peut faire face à son âme
Car fils
Ne perd pas
Inversion des mots, mots inversés
Compassion, solidarité
Non, mots volés
Es tu descendu assez bas
Pour encore construire du pourquoiEs tu descendu assez loin
Pour te dire que le mot, tout, est vain
Et te dire qu'adulte, enfant, enfin, est là
Et te dire qu'adulte, enfant, enfin, est làNe perd pas ta foi non,
Ne perd pas, tu vois quand
Tu ressens la douleur des heures
Qui passent et se réveille dans ton sang
La force revient dans ma voix
Quand monstrueusement seul
Je m'effondre aussitôt que
J'encaisse, cris ce linceulEncore une fois suintant
Et monstrueusement meuble
Je reviens, vers toi,
Seul, con et je crieTu peux calquer mes caries,
Copier, claquer en cliquetis
On est pas morts ici
Et j'suis pas né sur confettis
« Trole fe dar ah trole fe dar
Ana rajal gouli »
« Trole fe dar ah trole fe dar
Ana rajal femti » X2Gênés quand j'parle de gênes
Quand j'parle de violences rétiniennes
Gênés j'parle d'avant
Juste pour expliquer les miennesAlors gorge engorgée
Du manger par alcool
Engorgement pour comprendre
De l'alcool pour mangerGorge entrachie
Tranchie engorgée
Au gré d'alcoolémie
Trop souvent maitrichiéeMes yeux se multiplient
Mes yeux collés dans l'évier
Ma gorge ouverte Et
L'irruption dans mes yeuxMes morceaux d'intestins
Dans mon évier Et
Mon sang dans ma cellule
Juste coulant sur ce blanc
Juste coulant sur ce blanc
En crevaison lente
Les camions défilent
Vieux camions, fatigués
Visages sales et marquésTravailleurs de Huerta
Travailleurs de minerais
Tous épuisés, chargés
A l'arrière d'un camion fatiguéUn chien seul, essoufflé
Allongé, non loin de mes pieds
Spectateurs installés à la terrasse d'un caféLocutorio, Helado
Pizza, Empanada
Rien est de trop
Pour gagner son pain
Toujours aussi mauvais
Quand on est loinLa France, La FranceEt ce défilé se poursuit
Ce vieil homme à mes côtés
Un peu fatigué, un peu bourré
Est parti, moi aussiJe t'aime Maman
Et crois moi, j'entends
Tes larmes, ta souffranceLa France, La FrancePapa, tu n'es plus là
Juste une tombe,
Quand à Londres
Aisam s'en va
Tout comme moi,
Il n'y a personne autour de moiLa douleur ruisselante
La respiration haletante
J'écoute et poursuis
Phrase facile, phrase débile
Et les images défilentPneu arrière crevé
Une vieille passe
Le collectivo s'effaceUn autre Pick-up chargé
La blouse blanche de cet enfant
Les testicules de ce chien balançantJe t'entends
Tes sons résonnent, je te comprends
Je le ressens
Putain de téléphone
Une ford Falcon
Une autre s'en vaDésolé Papa, tu pleurs
Cruel dans l'horreur
Je ne suis pas mort
Pas encore
Pardon Maman
Pardon Papa
Je ne reviendrai pasTu n'es plus, Vous n'êtes plusVieilles voitures,
Année 60 et 70
Éboueurs et désinvoltures
Chiens chassés par la milicePassés, Présents, Pleurs
Maman ici plus de sauveur
Juste des passants et ce vélo
Contre un arbre en crevaison lente X2En Crevaison Lente
En Crevaison Lente
En Crevaison Lente
En Crevaison lente
Album EN APNEE
EN Apnée
Caïds de récré
Et de places sans toits
Victimes de demain,
Inscrits au Pôle Emploi
Ré-actualisés chaque mois,
En scooter et sans casque
Dans ta bagnole tunée,
Qui sauvera tes adidasMais tes larmes et tes cries
N’impressionnent plus personne
Sauf, surtout tes amis
Jusqu'à c'qu'ils t'abandonnentEt la haine te suit
Impressionne tous les autres
Et le bruit de tes rames
Fait juste fuir tous les autresAlors, Alors, Alors
Alors, Alors, AlorsRefrainPeinés du PMU
Et autres désespérés
Renoir, Maghrébins
Et Blancs alcoolisésTon rapido en main,
Tu repars, tu reviens
Comme un connard de pauvre
Qui demain reviendraEt tu rentres tard chez toi
Mais c'est elle qui prendra
Et elle ne dira rien
Tu as les siècles pour toiEt si quand se plaindra
De toi et aux tiens
Tu sais faire, il faudra
Aller jusqu'à demainPourtant, Pourtant, Pourtant
Pourtant, Pourtant, PourtantRefrainTu cries, tu hisses
Sans jamais te tisser
Et tes pneus qui crissent
Ne font que t'enfoncer
A trente ans
Et cette roue en l'air
Ton cerveau revenu
A l'état de mammifèreRegard à gauche, regard à droite
Regard à droite, regard à droite
Regard à gauche, regard à droite
Regard à droite, Regard à gaucheTu reviens, tu retiens
Tu retiens, tu reviens
Comme un connard sans train
Qui fait du lendemainToujours le même chemin
Un chemin sans chemin
Le chemin que toi et les tiens
Ont appris à subirEn Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée
en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée, en Apnée
Ferme ta gueule
Et nous nous manquons
Tous les deux tous les jours
Et l'Amour et ses conditions
Résonnent Sans finEt nous nous faisons
Tous les deux tous les jours
Et nos pas enneigés
Reviennent sans finMais ferme ta gueule
Ferme ton regard
Quand ton serpent, son regard
Son corps ondulé…......................
Fuis tes voix
Force le regard à penser
Que tes ailes peuvent se déployerPour guérir, Pour guérir, Pour guérirEt tu la jettes ta serviette
Sur cette porte manteau
Et tu regardes un peu bête
Cette poignée de sauverEt tu te vois un peu chouette
Et tu veux oublier
Que jamais net dans ta tête
Tu es
Que jamais net dans ta tête
Tuer
Que jamais net dans ta tête
TuéLa Vouivre ! La Vouivre ! La Vouivre !Du réconfort d'abord
De l'espoir ensuite
Du courage enfin
Le genre d'émotion
Qui te font vivre
Jusqu'à demainMais quand deux litres
Par trois jours
Sur le ring des autres
Et cette douleur dans ton ventre
Jusqu'au dernier jourMais quand ces litres dans ton ventre
Un peu tous les jours
Tu imagines dans ton antre
Ton dernier jour
Tu imagines dans ton antre …..ton dernier jourEt tu regardes cette clé
Et tu sais
Tu la refermée sur lui
Déjà tu savaisMais ferme ta gueule
Ferme ce que tu peux
Quand tu peux t'empêcher d'être
Ferme c'que tu peux êtreMais ferme ta gueule
Ferme droit dans les yeux
Si tu es capable d'être
Droit, Mort, Désespéré
Car après la vie, avant la mort
Je serai là
Car après la vie, avant la mort
Je serai là
Car après la vie, avant la mort
Je serai là
Car après la vie, avant la mort
Je serai là
Et je me lève un peu bête
Peut être encore un peu ivre
Et je me lève un peu bête
Peut être encore un peu ivreEt j'entends pourtant
La mère de mes enfants
Et j'entends pourtant
La mère de mes enfantsMe dire que, me dire que, me dire que, me dire que, me dire que..L'hérédité ne devrait pas être une erreur fatale, non
L'hérédité ne devrait pas être une erreur fatale, non
L'hérédité ne devrait pas être une erreur fatale, non
L'hérédité ne devrait pas être une erreur fatale, non
L'hérédité ne devrait pas être une erreur fatale, non
L'hérédité ne devrait pas être une erreur fatale, non
L'hérédité ne devrait pas être une erreur fatale, non
L'hérédité ne devrait pas être une erreur fatale, non
L'hérédité ne devrait pas être une erreur fatale, non
Pourquoi pas deux
Avec la tristesse du cri
Partagé
Sans la connerie des mots
Pensée
Je ne fais pas semblant
Et je sais, que toi non plus
Et je nous vois
Et je sais, que toi aussiAvec la connerie des mots
Essayés/er
Nous revenons à chaque fois
Plein d'amour, des mots et de sons éprouvés
Une épave en moi
Que tu veux sortir de l'eau
Une épave en toi
Dont tu arrives à faire des motsSans jamais nous demander d'oser se dire pardonSans jamais faire autre chose que se dire que ça pourrait faire
Sans jamais nous demander d'oser se dire pardon
Sans jamais faire autre chose que se dire que ça pourrait faire X2RefrainEt quand l'humour de l'amour
Disparait
Tu veux rester sincère la nuit
Il paraît
Je ne fais toujours pas semblant
Et je sais que toi,
tu ne l'as jamais faitMais alors putain parles connard
Parles comme tu l'as toujours fait
Dis moi dans quel monde tu es
Fermes là, met toi juste à ma place
Rends toi compte bordel comme il paraît
Que ce genre de chose est rareUne épave en toi
Qui parfois surgit dans les flots
Une épave en moi
Qui souvent est un peu trop
Une épave en toi
Qui parfois surgit dans les flots
Une épave en moi
Qui souvent est un peu trop
Qui souvent est un peu trop
Qui souvent est un peu trop
Qui souvent est un peu tropSans jamais nous demander d'oser se dire pardon
Sans jamais faire autre chose que se dire que ça pourrait faire
Sans jamais nous demander d'oser se dire pardon
Sans jamais faire autre chose que se dire que ça pourrait faire X2Refrain
Désintox’, Désintox’, Esprit et Rechute
Tourne et retourné
Mal dans la peau
Mot fait mal aux os
Enfermé dans le cerveauCerveau enfermé
Echoué dans un mot
Tourne, se retourne
Traversé par la peauLa peau transpercée
Fait trembler le cerveau
Les mots, les doigts, bouclés
En boucle, en boucle, en boucleEnbouclé dans la boucle
La boucle n’est pas bouclée
Quand le mot échoué échoue
Dans un cerveau trempéDésintox’, désintox’, esprit et rechute…
Désintox’, désintox’, esprit et rechute…
Désintox’, désintox’, esprit et rechute…
Désintox’, désintox’, esprit et rechute…
Désintox’, désintox’, esprit et rechute…
Désintox’, désintox’, esprit et rechute…Enfonce le crayon dans ma tête !!
Rien à foutre d’être honnête !!
Face aux fils de putes
Plus rien à foutre du styloIls t’ont enlevé un truc
Rien à foutre t’en valait mieux
Et quand tu prends ton truc
Plus rien à foutre d’être deuxPas aimer ceux qui échouent
Un autre peuple, un peu fou
Ne jamais aimer les blattesQui pondent des œufs dans les cerveaux mousCertains vivent avec leur chagrin
Peuvent pas faire autrement, moi si !!
Certains vivent avec leur chagrin
Peuvent pas faire autrement, moi si !!
Certains vivent avec leur chagrin
Peuvent pas faire autrement, moi si !!
Certains vivent avec leur chagrin
Peuvent pas faire autrement, moi si !!Mais dis-moi c’que tu veux
C’que tu veux quand on est deux
C’que tu veux quand tu veux
Sans jamais peur d’être deuxVas-y fais c’que tu peux
Quand tu peux être deux
Et j’veux du mieux pour deux
Regardes quand on est deuxJe veux le mieux qu’on peut
Quand tout est dur à deux
Et les sons et les mots que je retiens
Les sons et les mots que je vois, enfinIls s’envolent et alors ? Ta gueule !
Arpège du déluge
Devient une manière d’être
Ils s’envolent et alors ? Ta Gueule
Le privilège du langage peut êtreDésintox’, désintox’, esprit et rechute…
Désintox’, désintox’, esprit et rechute…
Désintox’, désintox’, esprit et rechute…
Désintox’, désintox’, esprit et rechute…
Désintox’, désintox’, esprit et rechute…
Désintox’, désintox’, esprit et rechute…Penche la tête à gauche
Putain d’do, cris !
Mal et ferme ma gueule
Auto-détruitRegarde comme j’ai l’impression
Qu’on est le savoir faire hein !
Regarde comme j’ai l’impression
Qu’on veut nous savoir faire heinRegarde comme la sensation
Peut bien mater ta personnalité
Regarde comme le sentiment
Peut bien aussi te saboterRegarde comme j’ai l’impression
Que tu m’aimes bien illimité
Que tu m’aimes bien illimité
Que tu m’aimes bien illimité
Que tu m’aimes bien illimité
Que tu m’aimes bien illimité
Que tu m’aimes bien illimité
Hadda Sbah Adda
Radin khladarbou adda, Naud, Naud
Hadda Sbah Adda
Radin khladarbou adda, Naud, Naud
Hadda Sbah AddaQuand j’ai l’impression
Qu’on me dit
Quand j’ai l’impression
Qu’on me ditQuand j’ai l’impression
Qu’on me dit que
Quand j’ai l’impression
Qu’on me dit queJe veux juste vieillir tranquillement hein
Je veux juste vieillir tranquillement heinRefrainJe vois un corps se déformer
J’aimerai voir une vieille
Me dire qu’ elle aimerait bien
Me voir évoluerMe demander son nom
Pour me dire que
Elle aimerait bien
Savoir pourquoiJe n’ai pas su faire
J’n’ai pas pris le temps d’aimer
Trouver le temps de me tairePour te dire que
C’est l’incise qui te tue
Quand pour toi l’enjeu
C’est le mots –son et ses prisesEt tes mots c’est toi
Qui te traque ?
Et l’instru tue
Cherche à savoir
Un masque pour attraper la matraqueRefrainJe ne défie plus le hasard
Le hasard ne me défie plus
Encore rire quand il est tard
Ça ne me ressemble plusCe trou, petit
Ces petits points
Autour
Ne me font pas du bienUne trainée de…
Jaillissant dans mon train
Un peu long, un peu lent
Devant toi explose, demain
Quand je ralentis
Que je ralentis
Quand je ralentis
Que je ralentisRefrainCourir c’est la solution
Impressionné et persuadé
Par le mouvement des eaux, les os
Peut-être… alorsYalah ! Yalah !
Putain c’est dur !
Allez réveilles-toi !
Allez !
Putain tiens le coup !
Tiens le coup putain !
Tu sais qu’ça fait mal !
Allez hein !Ya wouldy, Ya wouldy
Ne fais pas ça ya wouldy
Radin khladarbou, safe
Hadi hmara safe!
Radin khladarbou, safe
Hadi hmara safe!Ma alich… ma alich… Ma alichRefrain
La Brise
Un enfant, enfant
Pas un adulte nan
Jusqu'où ? Jusque quoi ? Jusque con
Nous irons... et nous ironsParfois Coupable
Trop parfois ce que je suis
Souvent Coupable
Immédiatement, presque, je guérisBordel hybride qui brise le miroir
J'ai la brise dans les jumelles
Et aussi le parloir
Jamais vraiment à ma place
J'ai qu'la place du marché
Et le colon colonisé, sans abus de pouvoirMes confusions bien sûr(s)
Mes exigences aussi
Non, chez les miens et chez toi
Le mot maudit n'existe pasL'école ne m'a pas tendu la main
Je l'ai prise
Ces points de sutures, De soudures
Avec peut être enfin
La Brise, La Brise, La Brise
La Brise, La Brise, La BriseLa Brise qu'ils entendent et ressentent
La Brise qu'on appréhende
Quand le sentiment devient cerveau
Et me hante....La Brise, La Brise, La Brise
La Brise, La Brise, La BriseRituel assassin, supporter de demain
Torsions douloureuses des intestins
Mon instinct mourant dans la main
De la solitude de mes chiensRegarde bien ta rive
Son étendue d'eau
Regarde-moi bien dans les yeux
Oui ! j'suis déjà vieuxBordel hybride qui brise le miroir
J'ai la brise dans les jumelles
Et aussi le parloir
Jamais vraiment à ma place
J'ai qu'la place du marché
Et le colon colonisé, sans abus de pouvoirMes confusions bien sûr(s)
Mes exigences aussi
Non, chez les miens et chez toi
Le mot maudit n'existe pasL'école ne m'a pas tendu la main
Je l'ai prise
Ces points de sutures, De soudures
Avec peut être enfin
La Brise, La Brise, La Brise
La Brise, La Brise, La BriseLa Brise qu'ils entendent et ressentent
La Brise qu'on appréhende
Quand le sentiment devient cerveau
Et me hante....La Brise, La Brise, La Brise
La Brise, La Brise, La BriseSi tu joues un peu les râtons
Dîtes
Les râtons-dîtes
Dire que J'ai la migraine de l'émigré
Qui sent tes yeux me fusillerSi tu joues un peu les matons
Dîtes
Les matons-dîtes
Dire que
J'ai la migraine de l'immigré
Que j'ai la migraine de l'immigré
Que j'ai la migraine de l'immigré
Que j'ai la migraine de l'immigréBordel hybride qui brise le miroir
J'ai la brise dans les jumelles
Et aussi le parloir
Jamais vraiment à ma place
J'ai qu'la place du marché
Et le colon colonisé, sans abus de pouvoirMes confusions bien sûr(s)
Mes exigences aussi
Non, chez les miens et chez toi
Le mot maudit n'existe pasL'école ne m'a pas tendu la main
Je l'ai prise
Ces points de sutures, De soudures
Avec peut être enfin
La Brise, La Brise, La Brise
La Brise, La Brise, La BriseLa Brise qu'ils entendent et ressentent
La Brise qu'on appréhende
Quand le sentiment devient cerveau
Et me hante....La Brise, La Brise, La Brise
La Brise, La Brise, La Brise
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